samedi 31 juillet 2010

vendredi 30 juillet 2010

Déclaration CFE CGC

liens :declaration de la CFE CGC

Bien fait !!!!!!!!!!!!!

Téléperformance : Analyse technique modifiée

Téléperformance : achat spéculatif au-dessus de 20 euros
Après une baisse de 1,5% mercredi, le titre Téléperformance fait du surplace jeudi.

Le motif écocomique en question

L’inspection du travail bloque les départs volontaires de tous les salariés protégés de Téléperformance

Pa Th  r Rodolphe Helderlé (Miroir Social)  Emplois & compétences, Dialogue social

Les salariés de Rennes en colères

jeudi 29 juillet 2010

Communiqué de presse n°23 Fédération CFDT

 


 Communiqué de presse n°23  Fédération CFDT Communication, Conseil, Culture
 Teleperformance encore moins 15% en France  47-49, avenue Simon Bolivar – 75950 Paris Cedex 19  f3c@cfdt.fr   communiqué de presse de la CFTC

D’Jenn - Là-Bas* au Maghreb

* djelaba : vêtement arabe
L’année dernière la direction de Téléperformance nous avait joué « les aventures de Pantin chez les ch’tis ».

mardi 27 juillet 2010

Mobilisation à Lyon

Aujourd'hui des salariés de Téléperformance de Lyon, se sont mobilisés devant le donneur d'ordre SFR

lundi 26 juillet 2010

TELEPERFORMANCE ARNAQUE AUSSI SES SALARIES AUX USA !! Mais ça coute cher

Leur devise : PASSION FOR MONEY, COMMITMENT FOR GARBAGE
NOUS GAGNONS EN VOLANT NOS CLIENTS ET NOS SALARIES
Et les valeurs du groupe: Mensonge - Irrespect - Avarice - Orgueil – Mesquinerie ...

Teleperformance et les délocalisations au JT 13h00 france 2

Edition du Jeudi 22 Juillet 2010 à 13h00 sur france 2

  Notre DSC CFTC a affirmé que Téléperformance délocalisait pour réaliser des économies, ce qui sous entend des licenciement accrus en France.

WAUQUIEZ AVEC LES SALARIES DE TPF

"Le leader mondial des centres d'appels, qui a perdu 36 millions d'euros en France en 2009,

Lettre a Mr KERN Maire de Pantin par Collectif Pantin

Chronique d’une mort annoncée

Collectif des salariés de
Téléperformance
Centre de Pantin
41 rue Delizy
93500 PANTIN
collectif.tp.pantin@gmail.com Pantin, le 26 juillet 2010

Monsieur le Maire,

Le Collectif des salariés de Téléperformance Pantin vous est reconnaissant de bien avoir voulu vous intéresser à leur sort en intervenant personnellement auprès de Monsieur le Ministre du Travail avec Monsieur BARTOLONE.

Monsieur Jean-Hervé JENN, le nouveau PDG de Téléperformance, vient d’annoncer récemmment la fermeture programmée du centre de Pantin, et le licenciement des salariés du centre.


Cette fermeture va maintenant servir à créer des emplois hors de France, en Afrique du Nord surtout, – malgré les dénégations de Monsieur Jenn, et le Collectif à réagi aux propos de Monsieur WAUQUIEZ dans Le Parisien pour l’interpeller personnellement sur cette politique désastreuse de délocalisations (cf. lettre à Monsieur Wauquiez ci-jointe).

Nous ne pensons pas, hélas, être en mesure d’arrêter cette machine à faire des demandeurs d’emploi; et les dirigeants de la société Téléperformance, prennent le prétexte de la crise d’une part, et de la « compétivité » d’autre part pour détruire cyniquement des emplois en France (837 en tout, avec la fermeture de huit centres).

Nous continuerons à vous tenir informé, Monsieur le Maire, sur la mort programmée du centre de Pantin, et sur le désarroi des cent trente et un salariés encore présents dans le centre. Nous continuerons à vous tenir informé sur notre lutte, sur notre volonté de ne pas baisser les bras et de partir la tête haute en faisant reconnaître aux dirigeants de Téléperformance la compétence de ses salariés qui ont fait la qualité et la valeur de cette société à travers le monde.

Nous vous prions de croire, Monsieur le Maire, à l’expression de nos sentiments très respectueux.

source : www.teleperforation.net

dimanche 4 juillet 2010

Rennes Fermeture du centre d'appels : les salariés amers

« C'est la douche froide. » Pour Caroline, téléconseillère depuis 2005, et l'ensemble des salariés du centre d'appels Téléperformance, c'est la stupeur après l'annonce, jeudi, de la fermeture du site rennais. Au total, 194 CDI (Contrat à durée indéterminée) et une centaine d'intérimaires sont concernés par la mesure qui devrait être effective d'ici six mois. En guise de protestation, les salariés ont débrayé une heure, hier en fin de matinée.



« On a le sentiment d'être jetés comme des mouchoirs en papier. »L'annonce de la fermeture laisse un goût amer à Gérald Lambert, dans l'entreprise depuis sept ans. « Nous avons consenti beaucoup d'efforts ces dernières années, notamment sur les horaires, pour être plus flexibles...pour des salaires de 1 400 € bruts ! Tout ça pour en arriver là. »

« Pas d'illusions »

Employé depuis 2002, Olivier Audrouing « encaisse le choc d'abord » et attend « de voir le plan de reclassement ensuite », même s'il ne « se fait pas d'illusions ».

Du côté des syndicats, on attend le début des négociations nationales, prévues le 8 juillet. « Il faut que Téléperformance mette des moyens financiers importants pour que les gens partent dignement et retrouvent un emploi le plus vite possible »,précise Anthony Soulet, délégué syndical CFDT. Des actions sont envisagées à partir de cette date si les propositions ne sont pas à la hauteur des espoirs des employés.

Pour la direction, les bâtiments vétustes et le manque de rentabilité du site expliquent la décision prise par le leader mondial des centres d'appels. En 2009, la filiale française a perdu 36 millions d'euros. « Ici, on est reconnus pour nos bons chiffres et la qualité de notre travail, estime Patrick Ollivier, délégué syndical CFE-CGC. C'est une décision prise uniquement pour les actionnaires. »

Leader mondial

Stéphane d'Auzac de Lamartinie, le directeur du site, indique, quant à lui, qu'il « fait tout son possible » et qu'un suivi personnalisé sera proposé à chaque salarié auprès de cabinets de reclassement. En communiquant plus, Téléperformance souhaite mener au mieux cette fermeture prévue d'ici six mois.

Début 2010, des employés d'Ile-de-France, touchés par un plan social et échaudés par des difficultés de dialogue avaient saccagé des bureaux au siège de l'entreprise.

Si le climat rennais semble plus apaisé, les salariés préviennent : « La direction promet un accompagnement social, mais si on nous mène en bateau, on ne se laissera pas faire. »

source : http://www.ouest-france.fr/actu/actuLocale_-Fermeture-du-centre-d-appels-les-salaries-amers-_-1433300------35238-aud_actu.Htm

Teleperformance veut supprimer 837 postes en France

Le Monde.fr

Ils s'attendaient bien à une mauvaise nouvelle, mais certainement pas à un plan social de cette ampleur. Jeudi 1er juillet dans l'après-midi, la direction du groupe de centre d'appels français Teleperformance a annoncé la suppression de 837 postes dans sa filiale hexagonale, correspondant à la fermeture de huit sites (Marseille, Pantin, Rennes, Tours, Le Mans, Lyon, Orléans, Toulouse). "La direction a déjà préparé deux numéros de téléphone d'assistance psychologique, un pour les cadres, un pour les autres", déplore Jeanne Delarocque, déléguée syndicale SUD chez Teleperformance.

La direction du groupe, numéro un mondial du secteur, avait déjà lancé un plan de départs volontaires début 2009 portant sur 585 postes en France. Si bien qu'en deux ans à peine la filiale française (8 000 salariés début 2008) pourrait perdre 18 % de ses effectifs.

"DUMPING SOCIAL"

"Avec la crise, nos clients, dont beaucoup d'opérateurs de télécommunication, ont réduit leurs envois d'appels vers nos centres. Cela représente une perte de chiffre d'affaires d'environ 20 %. Et nous avons aussi perdu des clients prestigieux, comme Canal Plus. Du coup, la filiale France a perdu 36 millions d'euros en 2009, ce n'est pas tenable", invoque Jean-Hervé Jenn, président de Teleperformance France.



"Le groupe profite de la crise pour faire du dumping social et renforcer nos activités offshore(dans des pays à bas coûts)", regrette Abdou Keita, président de la commission économique du comité central d'entreprise (CCE), et délégué CFTC. Il y avait 4 000 salariés dans les centres offshore fin 2008, selon les syndicats, surtout en Tunisie. "Nous en avons environ 6 000 aujourd'hui", précise M. Jenn.

Pour M. Keita, "l'activité baisse, mais pas de façon alarmante. Nous avons déjà connu des cycles de ce type, cela reprendra. Au lieu de licencier, il faudrait renforcer le pôle commercial, pour aller chercher d'autres clients".

"Concernant l'offshore, ce n'est pas nous, mais le client qui choisit. La réalité, c'est que l'heure de centre d'appels lui coûte 15 euros là-bas contre 30 euros ici, assure M. Jenn. Si dans l'Hexagone nous restons dans une logique d'offres standardisées, l'offshore continuera à monter en puissance. Il faut que nous puissions proposer des prestations à valeur ajoutée, par exemple en monétisant l'expertise sur certains produits ou services que nos salariés ont acquise à force de travailler pour le même client pendant plusieurs années. Nous testons actuellement ce type d'offres."

M. Keita veut se battre pour que, comme le précédent, ce plan de départs soit volontaire. "Il ne faut pas que la direction puisse désigner ceux qu'elle veut voir partir. Nous devons préserver au maximum les plus fragiles, il y a beaucoup de petits salaires chez Teleperformance, chargés de famille, et malheureusement souvent très endettés", explique-t-il. La première réunion du CCE est fixée au 13 juillet. La direction veut avoir bouclé le plan avant la fin de l'année.

"La situation des salariés de Teleperformance est dramatique, les clients opérateurs de télécommunication ne demandent plus que du prix, de l'offshore. La qualité n'est plus un critère, c'est la logique du court terme qui prévaut", fustige Sébastien Crozier, délégué CFE-CGC-UNSA chez France Télécom, un des clients de Teleperformance en offshore.

"Le groupe a d'abord tenté de sortir des postes d'Ile-de-France pour la province, moins coûteuse. Mais cela ne suffit pas. Les centres d'appels emploient encore des centaines de personnes dans l'Hexagone. Ce sont certes les nouveaux "OS" de notre industrie. Mais s'ils partent tous, que nous reste-t-il ?", s'interroge le syndicaliste.

Cécile Ducourtieux
source : http://www.lemonde.fr/economie/article/2010/07/02/teleperformance-veut-supprimer-837-postes-en-france_1382134_3234.html

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